Description
Je n’ai pas toujours été la femme confiante et bien dans sa peau que je suis.
J’étais en surpoids et extrêmement mal dans mon corps depuis mes premiers souvenirs de maternelle. Je me suis toujours vue comme un “monstre”, “un immeuble”. La dysmorphophobie est une copine d’école. J’avais déjà tendance à me rassurer avec la nourriture. Le langage de l’amour de ma mère, c’était de bien me nourrir.
- A 18 ans, je suis tombée malade. C’est mon tube digestif qui a été atteint. Quand j’ai connu la liberté de la vie étudiante (sans papa et maman) et devant composer avec des douleurs et des symptômes extrêmement délicats, j’ai commencé à développer des troubles alimentaires : de l’hyperphagie puis de la boulimie vomitive avec des phases de privation. Bref, le combo gagnant.
- A 22 ans, j’ai démarré mes études en astrologie et j’ai découvert que mon thème était une mine d’informations concernant mes T.C.A (troubles du comportement alimentaire) et ma dysmorphophobie. Ca a changé beaucoup de choses même si ça ne m’a pas guérie miraculeusement. Il y avait une explication. Ca ne venait pas de nulle part et le réaliser m’a beaucoup soulagée.
- A 27 ans, ma vie a pris un tournant et à 29, j’ai découvert ce que signifiait avoir confiance en soi.
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