Tout a commencé par une rupture. Je devais partir en mars 2016 à Bali avec mon chéri de l’époque, j’attendais ce voyage avec impatience, « L’île des Dieux ». Sauf que je sentais déjà en août 2015, que je ne partirais pas avec lui. Le 13 décembre 2015, je romps. Heureusement, nous n’avions pas encore pris les billets. Je me suis retrouvée avec beaucoup d’économies faites en prévision de ce voyage. Pour mes 24 ans, je décidai de m’offrir un appareil photos hybride Lumix GX7 (avec lequel je travaille toujours) et un aller-retour pour le pays de MES rêves à moi. Le Number One toutes catégories confondues.
L’Islande était une première à plus d’un titre : Pour la première fois de ma vie, j’allais FAIRE DU CAMPING, LOUER UNE VOITURE, FAIRE UN ROAD-TRIP, MARCHER SUR UN GLACIER, FAIRE DU KAYAK DANS UN FJORD, ORGANISER UN VOYAGE moi-même, minute par minute, du début à la fin. Quinze jours d’aventures, d’autonomie et d’émerveillement avec deux copains.
Armée de mon Lonely Planet et de Google Maps principalement, j’ai tracé mon itinéraire, fait le choix des étapes, des endroits où nous allions dormir, prendre le petit déjeuner, quand nous allions faire les courses ou visiter ceci, cela. Ce qui va suivre est un condensé de toutes les merveilles qui se sont imposées à mes yeux, jour après jour. Profitez-bien de la vue.
Geysir : la magie des geysers de 30m de hauteur
Une fois, sur le tarmac islandais, et après avoir pris possession de notre véhicule de liberté, nous avons fait une première halte voir l’impressionnante cascade de Gullfoss. Gullfoss, c’était l’allégorie de la puissance, du qi, du souffle de vie exhalé seconde après seconde, épousant au millimètre les bordures de son lit et léchant les cailloux à ses abords. Nous étions caressés par sa vapeur d’eau, pourtant à une bonne distance. Sans doute sa façon à elle de nous serrer la main et de nous souhaiter la bienvenue.
Après avoir dégusté une soupe de mouton (nous savions enfin pourquoi elle est si appréciée ; parce que c’est délicieux), nous nous sommes dirigés vers Geysir. Je me suis trouvée une passion pour cette fille et les couleurs de ses vêtements de pluie, de son bonnet en laine aussi. Je la trouvais très bien assortie au décor. J’étais tellement subjuguée que je n’ai pas cadré correctement la moindre photo de geyser. Il y avait beaucoup de monde autour. Je craignais que ce soit bondé ainsi pour les deux prochaines semaines.
Le Gamla Laughin ou Secret Lagoon
La première journée fût éreintante, et les journées sont bien longues lors d’un été islandais. Je tenais à ce que l’on se délasse dans ce fameux Secret Lagoon (le Blue Lagoon étant à 50€ l’entrée, le choix d’une piscine géothermique plus intimiste tenait de l’évidence). Fatiguée, c’est avec peine que j’ai enfilé mon maillot dans le vestiaire des filles. A mon grand étonnement, c’était pas la fête du slip. En Islande, les douches doivent être prises NUES et savonnez vous ! Il ne s’agit pas de se rincer simplement. Vous devez rentrer dans l’eau, propres comme des sous neufs. Mais c’est tellement usuel que personne ne se scrute. Rentrer et surtout demeurer le corps entier dans l’eau ne fût pas une mince affaire. Habituée aux bains bretons à 17°C, j’ai bien cru finir sur une assiette de gambas avec des petits légumes dans le c*l. L’eau est à 40° quand l’air se rafraîchit le soir et atteint péniblement les 20°. Il me fallait alternativement sortir la moitié du corps pour ne pas faire un malaise. Les plus courageux se plongeaient dans un bain glacé et vivifiant avant de retourner dans l’eau chaude.
Le cadre était assez exceptionnel. Le ciel se paraît d’indigo, chargé de pluie cotonneuse. La lumière crépusculaire et douce flattait la prairie environnante de couleurs automnales. De la fumée sortait de la terre un peu partout et à part dans des reportages, je n’avais assisté à ça qu’à New-York. Là-bas la fumée s’échappe de bouches d’égouts et ne sent pas la rose. C’était féérique. Un paysage ravissant dont de nombreux cours d’eaux cernaient les différentes piscines. Un endroit rêvé pour un village de petits elfes.
Le Landmannalaugar : les hautes Terres, un spectacle qui se mérite
Si je ne m’abuse, c’était le troisième jour. Et cette journée fût la plus épuisante de tout le voyage. J’avais réservé un bus 4X4 pour nous emmener dans les hautes terres, tôt le matin et nous ramener le soir à notre voiture. Le voyage dans le bus dure 1H, il me semble. Il y a des zones où il est impossible de dépasser les 10km/h. On roule dans des rivières, et sur de gros rochers. Gare aux tassements de vertèbres. On traverse des plateaux lunaires et désolés avant d’arriver à ce que j’appelle les “Montagnes Volvic“. Des volcans verdoyants avec quelques neiges éternelles ça et là. Puis on aperçoit de loin “Les Montagnes Caramel ou Montagnes Zébrées” (oui c’est tout un monde dans ma tête).
Je n’ai rien vu de plus spectaculaire que ces Hautes Terres. Wikipédia vous dirait : “L’activité volcanique y a forgé des cratères rougeâtres, des montagnes de rhyolite, des vallons et des champs de cendre qui côtoient des lacs d’un bleu profond.” Là-bas, on retrouve le Mordor du “Seigneur des Anneaux”, beaucoup de moustiques parce que c’est marécageux en arrivant au coeur des montagnes, des moutons qui paissent dans une paix totale. Et puis une vie foisonnante à flancs de rocs où de la mousse digne d’un rêve pousse épaisse et moelleuse parmi des champignons rouges, et des petites fleurs violettes. D’ailleurs la fleur en forme d’étoile que vous voyez sur la photo à droite est carnivore. ^^ Je ne l’ai su qu’après.
Le seul ennui, c’est qu’il a plu toute la journée, et à grosses gouttes. J’étais mieux équipée que mes partenaires, je pense en avoir moins bavé mais on a eu froid d’être mouillés en permanence. La dernière photo de cette galerie a été prise, arrivés en haut d’un pic, sous la pluie. J’ai souffert, de tant de pics à gravir, de descentes raides. C’était difficile physiquement, y a pas à dire. Mais ça en valait clairement les larmes de douleur.
Seljalandsfoss : le chapelet de Cascades
Nous ne devions dormir qu’une nuit au pied de ces cascades. On est restés 2 nuits de plus, tant le camping était agréable et le cadre idyllique. Tous les matins, nous étions réveillés par des moutons qui bêlaient en haut des cascades ou à mi-chemin. Mais comment faisaient-ils pour monter ou descendre ? Les heures du soir étaient clairement radieuses. J’ai dû prendre ces photos vers 21H30, 22H00. Pas grand monde au camping, mais c’était chaleureux. Passer derrière le rideau de pluie de Sejalandfoss, quand le Soleil est bas a quelque chose de magique. Ca m’a rappelé tous ces films d’aventures que je voyais à la télé, où il était question de retrouver la piste de trésors de pirates. Là-bas, il y a de belles promenades à faire, et ce fracas permanent de Seljalandsfoss et des cascadounettes environnantes a quelque chose de réconfortant, de paisible même. Je pense que c’est le lieu où j’ai le mieux dormi.
Les Îles Vestmann : Heimaey
Cette excursion sur la petite île d’Heimaey, appartenant à l’îlot des Vestmann Islands fût un autre vrai bol d’air. Une journée où il a fait grand soleil, du matin au soir, comme vous pouvez le constater. Nous avons grimpés sur l’Eldfell (j’ai d’ailleurs écrit sur l’incroyable éruption volcanique de 1973 juste ici) et nous avons fait le tour du littoral à la recherche des macareux. On en a aperçu un ou deux en vol, mais impossible d’en voir nicher. Sur cette île, il y a un golf magnifique qui donne sur la mer. On s’est arrêté au bord d’une falaise pour jouer aux cartes pendant des heures après avoir beaucoup marché. Le vent, le Soleil, les cartes, les copains. C’était simple et magnifique. On a fini par redescendre vers le port pour nous apercevoir en passant à côté du terrain de foot, qu’une grande partie des habitants de l’île s’étaient réunie ici afin d’assister au match. Incroyable ! Il y avait une ferveur étonnante et en même temps, un calme assez déroutant.
Reynisfjara : la plus charismatique des plages de sable noir
Hors du temps aussi cet épisode à Reynisfjara. J’ai cru que ma cornée avait une poussière dessus qui m’empêchait de distinguer les couleurs. Un paysage en noir et blanc. Elégant aux lignes épurées. Ce pourrait être une phrase d’appel pour acheter un tracteur de luxe ou une cuisine Mobalpa mais non c’est bel et bien le cas. Un lieu noble, sauvage, rude avec des pics qui se dressent féroces hors de l’eau, et un vent extrêmement mordant que j’ai retrouvé là-bas dans ma dernière expédition de novembre 2018, dont je parlerais prochainement. Les orgues basaltiques sont impressionnants et forcent le respect. Parfois des points de couleurs dans les galets ou sur les vêtements des promeneurs donnent au panorama des allures de Sin City.
Skogafoss : extraordinaire et épique
J’attendais avec impatience de l’avoir en face de moi. Tumultueuse et franche, elle est à couper le souffle. Impossible de s’en approcher de trop près à moins de vouloir faire ses ablutions. Je crois qu’en réalité, je me suis retrouvée encore plus bouche bée après avoir marché derrière. Voir d’où elle venait et la brèche qu’elle avait formé. La terre était scindée en deux. Verte et fertile. Gorgée de chlorophylle.
Marcher en crampons sur le Glacier du Skaftafellsjokull
On est d’abord allés voir la cascade noire, on s’est promené dans le parc, magnifique au demeurant. Des allemands du camping avaient fait cuire trop de pâtes et ont généreusement proposé de partager avec nous le reste. Nous avons dormi sur le camp du Parc. Le lendemain nous avions rendez-vous à Glacier Guides pour rencontrer notre guide Ryan et choisir nos crampons, notre pic à glace. Une navette nous rapprocha du lieu de balade. Et hop, nous voilà partis. Dépaysant de marcher sur un glacier, j’ai retrouvé cette sensation de fraîcheur et de pureté propre aux hauts sommets alors que nous ne frôlions pas le ciel. Nous nous sommes arrêtés devant un filet d’eau. Ryan nous expliqua que l’eau qui coulait de ce glacier était millénaire. Nous l’avons bue chacun notre tour. Plus fraîche et pûre que l’air. J’ai toujours une grande satisfaction à boire directement l’eau des cascades ou des cours d’eau. Ma toute première était en Thaïlande et je m’en rappellerai toujours. J’avais ce sentiment étrange et bien agréable de me remplir de la Terre Mère, elle qui m’a portée et qui a porté ma mère ainsi que tous mes ancêtres avant moi.
Jokulsarlon : banquise et lagon bleu.
En à peine moins d’une heure de voiture, nous avions changé de pays. Le ciel se parait de nouvelles couleurs. Les nuages avaient l’air rose pale dans un habit bleu layette. Les couleurs parfaites pour une chambre de bébé. Extrêmement reposant Jokulsarlon. Eblouissant aussi. Prenez des lunettes de soleil ! Toutes les 5 minutes nous entendions et voyions un bloc de glace se détacher, se retourner dans l’eau comme du polystyrène et prendre le courant, emmené vigoureusement vers l’océan pour sa dernière transhumance.
Seydisfordur : bienvenue dans les fjords de l’est
Dans les fjords de l’est, on est changé d’ambiance. Fini le cercle d’Or, où on y a laissé la majorité des touristes. Certaines portions de routes sont d’ailleurs de bien moins bonne qualité par là-bas. Place au silence, le vrai. Cette église là est d’ailleurs bien connue pour son chemin arc-en-ciel et gay-friendly allant de la baie jusqu’à ses marches. C’est une belle image de l’esprit moderne islandais, où se tient d’ailleurs chaque année une fabuleuse Gay Pride paraît-il, au centre de laquelle il n’est pas question de revendications, mais de faire la fête et de s’aimer, un peu comme au Carnaval de Rio.
Dettifoss : Cascade au plus fort débit d’Europe
Ca ne paie pas de mine, au départ, on ne sait pas vraiment ce qu’on va voir à part des cailloux. Et puis, c’est la surprise. Comme souvent dans la chasse aux cascades, c’est d’abord le bruit qui nous met sur la piste. Et quelle ne fût pas notre surprise, devant ce ballet d’eau. Elle déchirait la terre sous nos pieds, et sortait de partout comme des canalisations qui auraient cédé. On décrit l’Islande comme la Terre de Feu et de Glace. Je l’ai vraiment assimilée comme une terre d’Eau. L’Eau est partout.
Myvatn : lacs et volcans
Très jolis aussi ces petits lacs. Les volcans semblent y être posés de façon aléatoire et tout est très harmonieux dans son ensemble. On retrouve des lacs opaques remplis de silice qui en font sa couleur laiteuse d’adoucissant Cajoline.
Krafla : désert et fumerolles souffrées
Après le monde en noir et blanc, la banquise du Grand Nord, les paysages verdoyants ou rocailleux bordant les cascades, nous voici en plein désert. J’ai adoré découvrir Krafla. J’étais soufflée dès les premiers instants. Comment à quelques heures d’écart, une terre peut produire une nature si verte, si dense, si vivante, si riche quand elle est ici sèche, craquelée, désertique ? Même si cela s’explique aisément, c’est difficile à concevoir tant les images aberrantes, et fulgurantes de beauté.
Akureyri : capitale du Nord de l’Islande
Sous le ciel blanc ses couleurs ressortaient avec grâce. C’était la première grande ville que nous trouvions après une semaine de voyage. Son église façonnée en hommage aux orgues étaient vibrante de verticalité. Akureyri est une ville où il fait bon vivre, remplie de galeries d’art. La place de l’art en Islande est au premier plan, allez au second, juste derrière la pêche.
Hôtel Djupakiv : fjords de l’ouest
Quand je vous dis que les cascades sont partout, il faut me prendre au mot. L’eau ruisselait sur les bords des routes. Le ciel est bien bas dans les fjords de l’ouest. Les nuages semblent nous écraser au sol. Cette partie du pays fût envoûtante, elle semblait marcher au ralenti. En revanche, y rouler nous a valu des sueurs froides. Des routes étroites qui serpentent fortement, de grosses têtes d’épingles donnant sur des gouffres à n’en plus finir, sans barrière, sans cordon de sécurité, rien du tout et surtout…des routes qui ne sont pas goudronnées. De la terre battue. Autrement dit, nous avons fait la danse du soleil pour éloigner la pluie et nous éviter de patiner dans une côte. Mon ami Julian a assuré au volant. Je ne voyais assumer la responsabilité de mes deux copains, j’avais vraiment les chocottes.
Ceci étant dit, l’Hôtel Djupavik en vaut vraiment la frayeur. Typique, j’ai eu le sentiment en poussant la porte principale de rentrer chez ma grand-mère. Chez une mamie, avec des souvenirs de chasse, des meubles lourds en bois qui tiennent toute la vie, de la vaisselle ancienne et un fumet que l’on ne retrouve que dans les plats de grand-mères, une odeur de ragoût, de haricots blancs baignant dans un jus de mouton. Nous n’avions pas prévu d’y diner, seulement d’y dormir, mais il n’y avait pas de supermarché alentours. Nous nous sommes regardé avec mes amis et nous nous sommes dit qu’il fallait se faire plaisir. Les restaurants coûtent très cher en Islande. J’ai tout fait pour serrer le budget et promettre des vacances dépaysantes faites d’activités et de découvertes à mes amis sans qu’elles nous ruinent. Nous avons campé 11 nuits sur 15 et nous nous sommes essentiellement faits des sandwichs avec des produits de Supermarché. Ce petit écart nous a ravi les papilles. Tout était servi copieusement et avec beaucoup de goût. Un délice.
Balade en Kayak à Isafjordur
Toujours dans les fjords de l’Ouest, à Isafjordur et ses montagnes violettes. J’avais beaucoup apprécié cette balade. J’en avais profité pour faire de jolies photos en prenant soin de toujours reglisser mon appareil sous mon K-Way après usage. Nous avions pu admirer un phoque, prenant un bain de nuages sur une balise flottante.
Raudasandur : Plage de sable rose
Avec le brouillard, le sable n’avait pas bien l’air rose, mais plutôt beige. Impossible de voir le rivage de la mer. Les nuages toujours aussi bas donnaient quelque chose de mystique à tous les paysages.
Reykjavik : Capitale du graph’ et de la musique électro.
Nous avons fini par rendre notre voiture et passer la journée à Reykjavik. Evidemment, nous nous sommes rendus jusqu’au Drakkar, nous avons visité le très bel Opéra et nous sommes allés au sommet de Hallgrimskirkja, l’église au très haut clocher, elle aussi inspirée des orgues basaltiques. La ville est assez agréable mais m’a parue un peu triste, car le ciel était couvert tout du long.
Le Kex Hotel
Nous avons dormi au Kex Hotel sur les conseils d’une amie. Nous sommes arrivés devant une barre d’immeubles pas fameuse, avec des escaliers typiques des HLM des années 70. On monte au 1er Etage et nous tombons dans ce décor mi-industriel, mi-cosy, complètement improbable. C’est une auberge avec de nombreux dortoirs et chambres. Les prix varient beaucoup en fonction de la pleine ou de la basse saison mais aussi du nombre de lits de la chambre. Plus vous êtes nombreux, moins ça coûte cher. Les gens sont tout de même très respectueux du sommeil des uns et des autres, donc c’est pas gênant. J’y suis à nouveau retournée en novembre 2018 pour ma nuit dans la capitale.
Du street Art à tous les coins de rue. Une ville gay friendly. Dans les villes du Nord, les gens ont sur leur façades les couleurs qu’ils n’ont pas dehors. Et tout est peint de façon assez moderne. De même à Reykjavik, beaucoup de galeries d’Art.
Mon voyage a dû se terminer. Et j’ai mis plus d’un an à m’en remettre. Tous les paysages que je rencontrais ailleurs me semblaient fades et mornes. J’avais épuisé mon capital émerveillement, parce que j’étais en manque de mon Islande et dans une grande nostalgie. Mais aujourd’hui, ça va mieux. J’ai fait le plein des embruns islandais en novembre dernier. Je vous en reparlerais très bientôt. Ceux qui me suivent sur Instagram ont déjà dû découvrir beaucoup de photos du petit périple. Et j’y retournerais je l’espère, bientôt.
En espérant que ce livre d’images vous aura procuré un peu de dépaysement.
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c’est aussi dans mes souhaits les plus chers de voyage… merci pour ton partage !
Pas de problème 🙂
Quel magnifique voyage cela a dû être ! Tes photos sont très belles et donnent envie de découvrir l’Islande. J’avais pour projet d’y aller un été ; cela n’a pas pu se faire mais je conserve précieusement mon guide du routard 🙂
C’était indescriptible, j’ai fait de mon mieux mais bon…
WOW ! C’est sublime ! Les paysages et les photos ! Il me tarde d’y être : en mars pour explorer le pays en hiver. Je n’y ai encore jamais mis les pieds, mais j’ai envie d’y aller en été également ! Et ton article m’a donné plus qu’envie !
AAAH bah écoute je suis ravie. 🙂
Quel bel article… Ce pays, c’est celui où on se retrouve, où l’imaginaire reprend le dessus, la puissance intérieure semble décuplée… Tes photos sont magnifiques. J’aime profondément l’Islande
Han merci, venant de toi, c’est le meilleur des compliments.
J’adore ton article, tes photos et le fait que tu nous fasses voyager avec toi 🙂 Je n’ai pas encore eu l’occasion de découvrir l’Islande (j’attends que la destination soit un peu moins tendance pour avoir moins de touristes) mais j’ai hâte d’y aller en tout cas 🙂
Merci Sophie, c’est super gentil ! Et tu as raison d’attendre. Mais le paysage et les installations ont déjà changé depuis 2 ans, c’est fou ! Mais ça reste dans le respect de cet environment.